GWENDOLINE BLOSSE
Designer graphique et culinaire
Gwendoline Blosse allie art graphique et cuisine à travers les principes des arts appliqués.
Ses projets explorent les couleurs, formes, volumes, les textures et le jeu pour créer des expériences visuelles et gustatives.
Le dessin tient une position centrale, utilisé comme vecteur pour incorporer des concepts graphiques dans le domaine de la culinaire.
Gwendoline Blosse blends graphic art and cuisine through the principles of applied arts.
Her projects explore colors, shapes, volumes, textures, and game to create visual and gustatory experiences.
Drawing plays a central role, used as a means to integrate graphic concepts into the realm of cooking.
︎ gwendoline.blosse@gmail.com ︎ Instagram ︎ linkedIn
LES AUTRES POSSIBLES
Moins de voiture Simone !
Le « chacun sa caisse » nous coûte cher : la voiture individuelle représente plus de 50 % des émissions de gaz à effet de serre liées au transport routier, du temps perdu dans les bouchons, une pollution permanente de l’air en ville, etc. Alors quoi ? Tout le monde à vélo ? L’organisation actuelle de nos territoires ne le permet pas. Mais – bonne nouvelle – il y a d’autres solutions pour faire reculer la voiture ! La mise en commun, par exemple. Après le covoiturage pour les vacances et les week-ends, des collectivités locales tentent de booster cette pratique au quotidien, pour monter en voiture comme dans un bus, ou presque. En parallèle, un nouveau projet d’autopartage pointe le bout de son nez à Nantes. À ne pas confondre avec le covoiturage, l’autopartage, c’est prendre une voiture comme on enfourche un Bicloo,
juste là, au coin de la rue. Bien sûr, pour lâcher l’automobile, il nous reste aussi les options plus classiques : le train, le bus, le car, le tram, etc. Ok, mais les transports en commun de demain nous emmèneront-ils partout ? Est-ce ça, la solution ? Réponse avec un urbaniste spécialisé dans les questions de déplacement qui mise plutôt… sur la marche ! À condition de réaménager la ville. Bref, des options, il y en a. Sauf quand se déplacer est une épreuve quel que soit le moyen de transport, notamment à la campagne. Dans ce cas, les assos de transport solidaire, de plus en plus nombreuses, peuvent prendre le relais. Vous l’aurez compris, il n’y a donc pas que du vélo dans ce numéro… Mais pas de panique, la carte lui est dédiée !
Plus d'infos sur www.lesautrespossibles.fr
Le « chacun sa caisse » nous coûte cher : la voiture individuelle représente plus de 50 % des émissions de gaz à effet de serre liées au transport routier, du temps perdu dans les bouchons, une pollution permanente de l’air en ville, etc. Alors quoi ? Tout le monde à vélo ? L’organisation actuelle de nos territoires ne le permet pas. Mais – bonne nouvelle – il y a d’autres solutions pour faire reculer la voiture ! La mise en commun, par exemple. Après le covoiturage pour les vacances et les week-ends, des collectivités locales tentent de booster cette pratique au quotidien, pour monter en voiture comme dans un bus, ou presque. En parallèle, un nouveau projet d’autopartage pointe le bout de son nez à Nantes. À ne pas confondre avec le covoiturage, l’autopartage, c’est prendre une voiture comme on enfourche un Bicloo,
juste là, au coin de la rue. Bien sûr, pour lâcher l’automobile, il nous reste aussi les options plus classiques : le train, le bus, le car, le tram, etc. Ok, mais les transports en commun de demain nous emmèneront-ils partout ? Est-ce ça, la solution ? Réponse avec un urbaniste spécialisé dans les questions de déplacement qui mise plutôt… sur la marche ! À condition de réaménager la ville. Bref, des options, il y en a. Sauf quand se déplacer est une épreuve quel que soit le moyen de transport, notamment à la campagne. Dans ce cas, les assos de transport solidaire, de plus en plus nombreuses, peuvent prendre le relais. Vous l’aurez compris, il n’y a donc pas que du vélo dans ce numéro… Mais pas de panique, la carte lui est dédiée !
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